Les
drones dit de combat , à savoir des drones pouvant engager une intervention armée, sont contraire à la Convention de Genève. En effet, cette dernière exige que la décision d’engager une quelconque lutte soit toujours le résultat d’une décision humaine.
En somme, si le drone a encore beaucoup de capacités et d’applications non explorées, les réglementations de l’aviation civile françaises, européennes et internationales ; ainsi que certaines contraintes techniques, ne permettent pas pour l’instant que l’utilisation d’un drone par les services de police soit réellement intéressante.